• JOYEUX NOEL / MERRY CHRISTMAS

     

     JE VOUS SOUHAITE A TOUTES ET A TOUS  UN JOYEUX NOEL !  PASSEZ DE  MERVEILLEUSES FÊTES DE FIN D'ANNÉE   EN FAMILLE OU ENTRES AMIS !   

     

     

     

    JOYEUX NOEL / MERRY CHRISTMAS

    Silver Bells

     

     

     

     


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  • A ma connaissance, un seul single sorti sous le nom de The Joe Simon Band, un truc Afrobeat avant l'heure "Oon-Guela Pt. 1&2 (High Life)". Le Highlife est un style de musique apparu dans les années 1900 à Accra en Cote de l'Or, aujourd'hui le Ghana. Tiré des musiques d'église, des fanfares militaires, du Jazz, du Calypso et des rythmes de la côte, ("osibi" du Ghana, à base de percutions et de chants, "ashico" de Sierra Leone, "dagomba" et jeu de guitares "fireman" du Liberia). Le Highlife se développe d'abord à Kumasi dans les années 1920, seconde ville du Ghana et chef-lieu de la région Ashanti. Au début de la seconde guerre mondiale, ce rythme explose à Accra, devenu l’aéroport de transit des forces alliées en compagne au Moyen-Orient, des milliers de soldats Européens et Américains, dont de nombreux musiciens, y faisaient escale, mêlant au Highlife originel, le Jazz et le Swing. Le Highlife est également servi par le bouillonnement idéologique d'une élite intellectuelle dont la réflexion s'articule autour de quelques grands thèmes comme le nationalisme culturel, le respect de la personnalité Africaine, la solidarité des peuples noirs et surtout le panafricanisme. Parmi les musiciens les plus talentueux de la scène Highlife, on trouve les Ghanéens : E.T. Mensha, Ebo Taylor, ainsi que les trompettistes et saxophonistes Nigérians : Victor Olaiya et Fela Kuti. Ce dernier fera plus tard évoluer le style Highlife vers un nouveau genre musical : l'Afrobeat. Voici donc ce "Funky" Highlife " Oon-Guela" par The Joe Simon Band, composé et arrangé par Joe Simon - chanteur, compositeur et musicien de Soul et R&B, né le 2 septembre 1943 à Simmesport, Louisiane.

     

    THE JOE SIMON BAND

    Oon-Guela Pt. 1

    Oon-Guela Pt. 2

     

     

     

     


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  • Groupe studio assemblé par Henry "Juggy" Murray, avec King Curtis, Sax ténor ; Herman Foster, piano ; Al Casey, guitare ; Jimmy Lewis, Piano et Belton Evans, batterie. A ce moment là, Curtis était en contrat avec Atlantic records, et donc ne pouvait pas être crédité (en dehors de l'écriture) sur les deux singles du groupe. Ces deux singles sont donc édité - tout deux en 1959 - sur le label Symbol, subsidiaire de Sue records, fondé par Juggy Murray et Bobby Robinson. "The Chicken Scratch/June's Blues" Symbol 900 et "Pony Express/ Groovy Feeling" Symbol 906. Al Casey fait parti du groupe de Curtis dans le début des années 1960. Voici les deux singles de The Commandos.

    THE COMMANDOS

    The Chicken Scratch  

    June's Blues

     

     

    THE COMMANDOS

    Pony Express

    Groovy Feeling

     

     

     

     


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  • SLIM HARPO - FRENCH EP POLYDOR - 1967

    James Isaac Moore (dit Slim Harpo) est né à Lobdell en Louisiane. Aîné d'une famille d'orphelins, il travail comme docker et dans la construction, à la Nouvelle Orléans durant les années 1930 et le début des années 1940. Influencé par le Blues de Jimmy Reed, son style combine une voix traînante avec des passage incisif d’harmonica. il commence à se produire dans les bars de Baton Rouge sous le nom de Harmonica Slim, et accompagne son beau-frère Lightnin' Slim dans ses spectacles. Il démarre sa propre carrière en mars 1957, en collaboration avec le producteur et A&R J. D. "Jay" Miller, à Crowley, Louisiane. A la suggestion de sa femme, il prend le nom de Slim Harpo afin de se différencier d'autres interprètes déjà appeler Harmonica Slim, comme Travis Balylock et Richard Riggins. Il enregistre son premier single pour le légendaire label Excello, basé à Nashville (Tennessee) "I'm A King Bee" couplé à "I Got Love If You Want It", les autres musiciens sur l'enregistrement étaient : Gabriel "Guitar Gable" Perodin (guitare) ; John "Fats" Perrodin (basse) ; et Clarence "Jockey" Etienne (batterie). Bien que Harpo joue de la guitare dans ses spectacles, il utilise généralement d'autres guitaristes lors des enregistrements. Le single fut un hit régional, mais n'entre pas dans les charts nationaux. Il enchaîne avec plusieurs singles pour Excello, avant d'avoir son premier hit national dans les charts avec "Rainin' In My Heart" début 1961. Le single atteint le n° 17 dans le Billboard R&B et n° 34 dans les charts pop US, puis s'ensuit l'album du même nom. Plusieurs de ses chansons  ont été co-écrites avec son épouse Lovelle Moore, même si elle n'a jamais été créditée. Harpo ne vivait pas a plein temps de sa musique, il avait sa propre entreprise de camionnage dans les années 1960. Lui est son groupe étaient obligés de faire le plus de tournées possible pour tenir financièrement. En 1964, plusieurs de ses morceaux sont édité en single et albums, en Angleterre, et des groupes comme The Rolling Stones ; The Pretty Things ; The Yardbirds ; The Kinks ; Pink Floyd, seront influencés par sa musique. Il eu son plus grand succès commercial en 1966 avec "Baby Scratch My Back" qui atteint le n° 1 des charts R&B et le n° 16 des charts pop US. Harpo l'a décrit comme "une tentative de Rock & Roll". Comme ses précédents disques, il a été enregistré avec le producteur J. D. Miller et les musiciens régulier d'Excello records, y compris le guitariste Rudy Richard, le bassiste James Johnson et le batteur Jesse Kinchen, à Crowley (Louisiiane). Malgré les désaccords avec Miller et un changement de titulaire de la maison de disques, il enregistre "Tip On In (1&2)" et "Tee-Ni-Nee-Ni-Nu" à Nashville avec le nouveau producteur ; Robert Holmes. Les deux titres entrent dans les charts R&B. Il enregistre ensuite son album "Tip On In" en 1968 à Nashville, avec les musiciens ; Charles Hodges (orgue) ; Mabon "Teenie" Hodges (guitare) ; Leroy Hodges (basse) et Howard Grimes (batterie) qui plus tard deviendront célèbres avec la Rhythm Section du label HI records dans la période Willie Mitchell. Il à également enregistré des versions de "Mohair Sam" de Charlie Rich et "Folsom Prison Blues" de Johnny Cash. Il recrute son beau-frère Lightnin' Slim dans son groupe de tournées en 1968, jusqu'à la fin des années 1960, séduisant principalement un public Rock. En janvier 1970, alors que sa première tournée en Europe était prévue, ainsi que des séances d'enregistrement, il meurt subitement à Baton Rouge, d'une crise cardiaque à l'âge de 46 ans. Il à été enterré au cimetière de Malatto Bend à Port Allen, Louisiane. Ici avec son unique EP Français "I've Got Love If You Want It" édité en 1967 sur Polydor International 27 800.

     

    SLIM HARPO - FRENCH EP POLYDOR - 1967

    SLIM HARPO - FRENCH EP POLYDOR - 1967

     I've Got Love If You Want It

     Shake Your Hips

     I'm A King Bee

     I'm Your Breadmaker Baby

     

     

     

     


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  • PAUL DINO - THE DEBONAIRS

    Paul Dino / The Debonairs. J’avais déjà fait un article sur The Debonairs, il y a quelques temps, présentant leur unique single, avec seulement la face principale “Going To Town” , je n’avais pas posté la face B "Will You Marry Me" a l’époque, n’ayant plus ce disque, je n’avais gardé que l’enregistrement MP3 de "Going To Town" (apprécié des Popcorn Lovers). Ce single est édité sur Carol Ann records, un petit label de Philadelphie, les deux faces sont des compostions de Paul Dino. Lors de mon précédent article, Dead Wax (que je remercie encore ici) m’avait signalé l’édition de ces deux même titres sur Flame records, autre petit label de Philadelphie, mais crédité à Paul Dino sous le titre "Goin’ In Town" au lieu de "Going To Town", peut-être pour faire penser a une chanson différente ? mais les paroles sont Going TO Town. Ces deux singles sont bien l’œuvre de Paul Dino mais je ne sais pas lequel est paru en premier. Peut-être pensait-il qu’un nom de groupe était plus accrocheur ? Ce single est le premier de la poigné qu’a enregistré Paul Dino. Mes recherches sur Dino, m’on amené a pas mal d‘infos, mais j’attendais le moment opportun pour lui consacré un second article. Ce moment est aujourd’hui arrivé, après avoir retrouver le single de The Debonairs sur Carol Ann dimanche dernier à la foire aux disques de Mouscron (Belgique) c’était mon jour de chance, car ce disque est assez difficile a déniché, et pour un prix défiant toutes concurrences Ebay ! Ceci étant dit, passant à l’essentiel : l’histoire du chanteur, compositeur et musicien Paul Dino, de son vrai nom : Paul Dino Bertuccini. Paul se destinait a être coiffeur, mais il était aussi passionné par la musique. Vers la fin des années 1950, Dino monte un groupe nommé The Nite Caps, puis se produit ensuite sous son nom (raccourci) Paul Dino. Paul avait appris a jouer de plusieurs instruments au cours de l’école secondaire dont le piano, le saxophone, la batterie, et même un peu l’accordéon. Il commence a chanter dans les cabarets de la région, tout en rasant et coupant les cheveux entre deux. Il essaye par tout les moyens d’enregistré sur les labels locaux, sans grand succès, hormis les deux singles Carol Ann et Flame records. Puis il commence a faire des allez et venues régulières à New York et frapper aux divers portes de maisons de disques, qui a ce moment là n’étaient pas intéressés. Après plus d’un an de tentatives, il obtient (son pied dans la porte) un accord d’enregistrement des étiquettes Addit/Promo records. Dino a enregistré trois chansons qu’il avait composés, mais il en voulait une quatrième. Une jam-session démarre au pied levé quand le guitariste entame un énorme beat à la Bo Diddley, tandis que Dino compose la chanson au fur est à mesure qu’ils avançaient, chantant principalement "Ginnie Bell, la-la-la lalala" avec des chœurs féminin et un groupe en support. Les sessions ont été supervisées par le producteur/arrangeur George Butcher, requis pour l’occasion. Le résultat est tout simplement génial et fut retenu pour être édité "Ginnie Bell" couplé a "Bye Bye" Promo records 2180 , réalisé en décembre 1960 sort en 1961. Déçu que seulement deux chansons sur les quatre soit retenues, Dino retourne à Philadelphie où il fait des apparitions a la télévision chez son ami Dick Clark. Il était dans le studio lorsqu’il rencontre la jeune Justine Carrelli qui était danseuse dans l’émission. Populaire auprès des téléspectateurs parmi le nombre de danseurs réguliers. Certain parlaient d’elle comme une "Bombe Blonde" elle apparaît dans de nombreuses revues de l’époque. Elle a même fait la couverture du numéro de mars 1960 de Teen magazine. Peu de temps après, Justine quitte le show et épouse Dino. Un an plus tard, Phil Spector, alors dans sa fonction d’A&R chez Liberty records, tombe sur une chanson que Dino avait écrit "Na Ne No" qu’il produit et arrange pour le chanteur Troy Shondell, qui se classe dans le "Bubbling Under" pendant quelques semaines en juin 1962.

    PAUL DINO - THE DEBONAIRS

    Au moment où le "Ne Na No" sort, Paul et Justine avaient déménagé à Las Vegas. Ils étaient une attraction régulière au Fremont Hotel (a l’époque, le plus grand Building du Nevada) dans la "Carnival Room", où le chanteur/entertainer Wayne Newton apparaissait fréquemment a ses débuts en 1959 alors qu ‘il était encore au lycée. Justine était choriste, dansant le Twist et autres danses du moment, tandis que Dino et son groupe illuminaient le salon. Sa carrière discographique et d’écriture continu encore jusqu’en 1963, tout d’abord avec un single sur United Artist en 1962, produit par Jerry Leiber et Mike Stoller "That’s How I Miss You/Tonight’s The Night" son seul enregistrement pour une major compagnie, puis en 1963 sur Entré records, un autre petit label "I Like Your Style/Your Candy Kisses". Lorsque le contrat avec le salon au Fremont Hotel arrive a terme, Paul et Justine sont restés dans la capital des jeux. Ils sont restés amis avec Dick Clark, se voyant régulièrement avec sa femme Kari Wigton, lors de leurs visites à Las Vegas durant les années 1970 et 80. "Ginnie Bell" est un lointain souvenir, inexistant sur les stations radio d’Oldies, et n’a d’intérêt que pour les collectionneurs inconditionnels et les fans obsessionnel de musique. Le couple s’aventure ensuite dans une nouvelle ligne de travail comme l’immobilier et l’événementiel dont l’explosion démographique de la ville par exemple. Voici le premier single, les premiers devrais-je dire, de Paul Dino / The Debonairs, "Going To Town/Will You Marry Me" pour l'édition The Debonairs sur Carol Ann MS 1001 et "Goin’ In Town/Will You Marry Me" pour l'édition Paul Dino sur Flame - Viking records 301 édité en 1960. A noté que l’édition Carol Ann est distribué par BERTICINI PUB de son nom de famille - Bertuccini - comme d’ailleurs le single sur Entré records (Bertuccini Music). Paul Dino reviendra par la suite avec d’autres chansons.       

    Carol Ann M.S. 1001 - 1963 -

    PAUL DINO - THE DEBONAIRS

    Flame - Viking records Corp. 301 - 1963 ? -

    PAUL DINO - THE DEBONAIRS

     

    Going To Town

     

     Will Be Marry Me

     

     

    PS: Le lecteur Flash Player ayant été suprimé, l'ancienne audio ne fonctionne plus. Je l'ai remplacer par un nouveau système de lecture. Pour cela, cliquer sur les liens Titres, une nouvelle fenêtre s'ouvrira avec l'audio.

     

     

     

     

       

     


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